Le mouvement dure depuis le 12 janvier à la Raffinerie des Flandres de Dunkerque où SUD est
majoritaire

 Depuis la semaine dernière, c’est l’ensemble des raffineries Total qui est en grève, à l’appel de l’intersyndicale nationale

 Dimanche, la direction RH de Total a reçu les organisations syndicales. Les patrons de Total refusent
de répondre positivement aux revendications très claires des salarié-e-s :

 Exécution, maintenant, des travaux de maintenance quinquennaux à la raffinerie des Flandres.

 Redémarrage de cette raffinerie.

Pour les autres sites, la direction répète qu’elle n’envisage pas de
fermeture ... mais refuse de s’engager sur le maintien des activités et
des effectifs actuels.

Quant au ministre de l’industrie, malgré les demandes de table rondes formulées par plusieurs
organisations syndicales dont l’Union syndicale Solidaires, il a préféré passer son dimanche avec le
PDG de Total...

Résultat : depuis le 21 février le mouvement de grève est encore plus
fort dans l’ensemble des sites Total, et s’étend à d’autres entreprises
du secteur.

Des manœuvres de division commencent pour essayer d’affaiblir l’ensemble des salarié-e-s.

Au
contraire, l’Union syndicale Solidaires et les syndicats SUD Chimie soutiennent pleinement les
grévistes, et exigent que la direction de Total prenne immédiatement les mesures permettant de
garantir l’avenir des salarié-e-s du site de Dunkerque (Total et sous-traitants).
Rien ne sert d’attendre.

Le gouvernement doit organiser très rapidement une table ronde, pour
répondre aux revendications de l’ensemble des salarié-e-s du secteur.

Ce que veulent les Total, c’est que
« les travailleurs ne paient pas la crise ! ».

Participons aux initiatives, popularisons leur lutte,
soutenons les financièrement :

Chèques à l’ordre de SUD Chimie Dunkerque,

adressé à Philippe Wullens,

SUD Chimie c/o
Solidaires 59/62,

84 rue de Cambrai 59000

Lille.

Messages de soutien adressés à SUD
Chimie Total raffinerie des Flandres :

wullens.philippe@free.fr